jp a écrit :Mouais... pour moi note=doigté ça fonctionne assez bien. Peut-être que ça existe, mais je n'ai jamais vu un clarinettiste qui pensait en son réels pour qui ça fonctionnait vraiment bien (genre en do c'est pas du tout la gamme la plus simple... pas logique). Et puis les méthodes sont progressives mais pas pour toi si tu es en sons réels...
Le pire que j'ai vu, c'est un saxophoniste de bon niveau qui a réappris à jouer du saxalto en sons réels. Il a passé deux ans à faire que ça et après il jouait moins bien qu'avant.
jp
Je pense aussi que c'est chaud d'apprendre en son réel, ne pas pouvoir utiliser les supports écrits faits pour la clar, c'est assez limitant.
Et réapprendre... tu me confortes dans l'idée que ce n'est pas possible.
L'histoire de do qui n'est pas la gamme la plus simple, ok je comprends l'argument mais au final, et alors ? Je ne vois pas bien ce que ça aurait comme inconvénient majeur.
Par contre la raison du passage d'un instrument à l'autre, ça c'est sûr, c'est décisif. En particulier dans le cas de la clar en la par exemple (parce qu'entre sib et mib il y a des doigtés qui se retrouvent à des registres différents, à mon avis c'est pas insurmontable).
Mais rhaaa sérieux, comment ça me pourrit la vie... Hier encore j'ai tenté en jam un très beau morceau avec une harmonie un peu compliquée. Je le connais bien pourtant mais j'avais eu le malheur de le bosser à la mandoline quelques heures avant. Ça a été le carnage.
Dim a écrit :Dans le genre bien drôle, y'a parler notes avec un guitariste qui joue en open tuning, du coup s'il te dit le nom d'une note ça va être la note suivant un accordage normal, donc rien à voir, ajoute là dessus ta propre transposition...Et en fait tu laisses tomber le principe de nommer les notes et tu fonctionnes à l'oreille.
Haha mince
, moi je joue avec un guitariste qui a la courtoisie de parler en degrés dans ces cas-là !