A ma grande surprise en tapant "Huguenots" dans le champ rechercher, on ne trouve rien.
A en croire Berlioz, la première apparition de la clarinette basse à l'Opéra de Paris est dans les Huguenots de Meyerbeer. Dans le trio du Vème acte, elle a un fameux monologue, dont la partition figure en introduction de la méthode Volta.
Vous pouvez l'écouter ici, à partir de 7:55 :
https://www.youtube.com/watch?v=xDExxVKxk4g
Monologue de Clar. basse (Meyerbeer)
Monologue de Clar. basse (Meyerbeer)
Cor de basset, clar sib, clar basse
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Ça passe pas chez toi... Moi je trouve ça beau. Ça fait 1000 fois qu'on en discute et on en revient toujours la : des goûts et des couleurs etc...Clair et net a écrit :Quel son extraordinaire dans le registre de base. Mais quelle horreur dès qu'on passe le registre en dessus ! Même avec un super pro, ça ne "passe" pas, on dirait que le tuyau est bouché à moitié ...
E.
« Finalement, j’ai rencontré une brouette, et j’ai pensé qu’elle me prêterait une oreille attentive. » Lewis Carroll
Pour avoir pratiqué 10 ans la clarinette basse, en amateur peu éclairé ( ) dans différentes formations dites "classiques", y compris "harmonies de village", je confirme ce sentiment : la clarinette basse procure de belles sensations dans le registre chalumeau, mais dès qu'on atteint le moyen clairon, ce n'est plus pareil ...A l'orchestration on a tout avantage dans ce registre à la remplacer par un basson, voire un saxo (ténor ou baryton), voire même une clarinette si bémol !Clair et net a écrit :Quel son extraordinaire dans le registre de base. Mais quelle horreur dès qu'on passe le registre en dessus ! Même avec un super pro, ça ne "passe" pas, on dirait que le tuyau est bouché à moitié ...