PapsPier a écrit :J'en profite aussi pour vous demander deux chose:
- est-ce que vous auriez des suggestions pour améliorer le rendu de mes partitions Lilypond? Je les trouve un peu austeres et peu aérées.
- est-ce qu'il y a des volontaires pour m'aider a relever d'autres solos? J'ai réorienté un peu mon projet. Plutot que le projet Rostaing en fait c'est le projet Quintette du Hot Club de France avec clarinette.
Je vais m'attaquer aux premiers enregistrements Rostaing-Django de 1940. Si il ya des gens volontaires pour relever un ou qqs solos (la plupart du temps Rostaing ne joue qu'une grille de solo)
Pour le rendu Lilypond, bah c'est le rendu Lilypond, il est impeccable, austère sans doute, mais bon, c'est une partition, noir, blanc et bien lisible c'est parfait.
Après c'est au niveau de l'agencement que tu peux peut-être améliorer, c'est du jazz, ça va 4 par 4 ou un multiple, sur Folie à Amphion, tu comptes la mesure de levée comme une des 4, du coup ça décale tout, et un truc important je trouve, c'est de mettre des doubles barres à chaque tour de grille et à chaque passage genre ||A||A||B||A||, histoire qu'on sache toujours ou on en est. Et pour finir, ça se fait de mettre une grille sans notes, juste les accords.
Sinon pour le reste, je suis assez partagé sur l'intérêt de ce travail qui est monumental, tu t'attaques à une montagne de boulot, et s'il est connu que relever des chorus pour soi, pour analyser, comprendre, imiter et pourquoi pas, jouer le même chorus comme un hommage lors d'un concert est un excellent travail, il est aussi dit, et en tout cas c'est ce que je pense, lire et jouer un solo d'un autre dont on est pas l'auteur du relevé est un non-sens, puisque précisément on parle d'improvisation.
Si tu veux jouer comme Rostaing, c'est son style qu'il faut travailler, TES phrases avec SON style, ça fera TON impro, sinon, à mon avis, comme j'ai déjà pris l'exemple ailleurs, c'est comme décalquer un dessin, ça ne fait pas de toi un dessinateur.
En espérant ne pas te froisser.
L'ingénieur Barnier est formel, le projecteur de particules à double polarisation chromatique entrera en résonnance avec le palpeur de mirette si vous avez le malheur de le laisser branché. Il en résultera la destruction de votre beau câbleur tout neuf.