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EricW
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Message par EricW »

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Tony
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Message par Tony »

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Dim
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Message par Dim »

Je ne sais pas si tu mets cette vidéo suite à la conversation sur le free,
mais là ça n'a rien à voir avec la vidéo qui a déclenché la discussion (ou encore celle ci qui illustre exactement ce que je n'aime pas https://www.youtube.com/watch?v=h56Vl42 ... e=emb_logo) .
C'est peut être là que se situe une nuance entre le free jazz et les musiques improvisées, là y'a une recherche de la beauté, et il y a quand même un cadre, harmonique, rythmique et même une écriture puisqu'ils se retrouvent sur un thème qu'ils lisent.
Et là c'est intéressant, une vraie construction musicale unique sur l'instant.
Mais bon, encore une fois, on ne parle pas de la même chose que les vidéos sus-citées.
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EricW
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Message par EricW »

Dim a écrit :Je ne sais pas si tu mets cette vidéo suite à la conversation sur le free,
Absolument pas, je suis tombé sur celle-ci par d'autres canaux, j'ai bien aimé et donc j'ai posté.
Dim a écrit : mais là ça n'a rien à voir avec la vidéo qui a déclenché la discussion (ou encore celle ci qui illustre exactement ce que je n'aime pas https://www.youtube.com/watch?v=h56Vl42 ... e=emb_logo) .
C'est peut être là que se situe une nuance entre le free jazz et les musiques improvisées, là y'a une recherche de la beauté, et il y a quand même un cadre, harmonique, rythmique et même une écriture puisqu'ils se retrouvent sur un thème qu'ils lisent.
Et là c'est intéressant, une vraie construction musicale unique sur l'instant.
Mais bon, encore une fois, on ne parle pas de la même chose que les vidéos sus-citées.
Je pense que ce n'est pas dans l'instant du tout ici. C'est même vachement écrit à mon avis !

E.
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iblix
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Message par iblix »

Pour rester dans cette conversation sur le free parce que je trouve ça intéressant quand on arrive à en débattre sans que ça parte trop en sucette, j'ai l'impression qu'on mélange deux questions dans cette discussion.
D'une part il y une certaine tendance dans le free et l'impro libre d'aller vers du bruitisme pur et à casser tout semblant de construction et d'harmonie. Perso je ne comprends pas tellement cette démarche, autant je trouve que le bruitisme peut-être un chouette outil, autant je trouve ça plus intéressant quand ça contraste avec du plus construit.
Mais soit, là on est vraiment dans des questions de goût.

Et puis il y a la tendance à l'élitisme dans la culture, le fait de se valoriser parce qu'on aime ou qu'on fait des choses "compliquées" (je mets des guillemets parce que je ne suis pas d'accord avec cette vision), parce qu'on apprécie des styles que la plupart des gens n'apprécie pas, qui demandent une "éducation". (Là encore je n'y crois pas, je pense que tous les styles demandent de s'habituer et de connaître un peu pour apprécier.) Et il me semble qu'on ne peut pas nier que ce phénomène existe.
Et même si les critiques envers les autres genres existent partout, je trouve que cet élitisme est particulier parce qu'il participe à des rapports de domination qui agissent de manière plus large dans la société.

Ça ne concerne pas que le free, je pense que le jazz dans son ensemble est touché par cette tendance, dans nos pays en tout cas. Peut-être un peu moins les styles plus festifs comme le swing (et encore...), mais certainement le bebop. Et bien sûr la musique contemporaine.
Donc à mon avis c'est plus une attitude par rapport à la musique qu'un genre particulier qu'on peut critiquer. Une attitude qui n'est pas forcément consciente mais qui a quand même des conséquences.
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Message par PapsPier »

DIscussion interessante! Merci de ton long post Eric.
J ai finalement, apres que Dim ait eclairci, une position un peu differente et qui serait plus proche de ce qu a decrit iblix. J ai un pote qui a suivi la formation de l IRCAM et ca m interessait donc je suivais de pres ce qu il faisait. Et donc mon ressenti est base sur ca et les experiences de jam sessions ou concerts auxquels j ai assiste quand j etais sur Paris. J ai pas d exemples musicaux particuliers, c est plus sur l attitude face a la musique que sur la musique elle meme.

Et concernant le free et les problemes du monde, je suis bien d accord que tout ne va pas bien mais le free tel que joue sur la video qui a genere le debat ne me semble pas s adresser aux problemes du monde mais plutot a une recherche abstraite. Si le jazz peut encore etre revolutionnaire (pas que le free), je ne suis pas sur qu il soit percu comme tel en France (il y a d autres musiques plus modernes qui ont ce role la). Ici a NEw York, la situation est differente j ai l impression. Le theme du dernier festival de jazz dhiver etait Jazz et justice sociale. Et ca avait du sens. En France, je ne suis pas sur que ca aurait autant de sens...

Ceci dit, je reste ouvert d esprit et jette un oeil ou une oreille a tout ce que vous postez (free ou pas) :)
Et puis il y a la tendance à l'élitisme dans la culture, le fait de se valoriser parce qu'on aime ou qu'on fait des choses "compliquées" (je mets des guillemets parce que je ne suis pas d'accord avec cette vision), parce qu'on apprécie des styles que la plupart des gens n'apprécie pas, qui demandent une "éducation". (Là encore je n'y crois pas, je pense que tous les styles demandent de s'habituer et de connaître un peu pour apprécier.) Et il me semble qu'on ne peut pas nier que ce phénomène existe.
Et même si les critiques envers les autres genres existent partout, je trouve que cet élitisme est particulier parce qu'il participe à des rapports de domination qui agissent de manière plus large dans la société.

Ça ne concerne pas que le free, je pense que le jazz dans son ensemble est touché par cette tendance, dans nos pays en tout cas. Peut-être un peu moins les styles plus festifs comme le swing (et encore...), mais certainement le bebop. Et bien sûr la musique contemporaine.
Donc à mon avis c'est plus une attitude par rapport à la musique qu'un genre particulier qu'on peut critiquer. Une attitude qui n'est pas forcément consciente mais qui a quand même des conséquences.
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EricW
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Message par EricW »

Merci Dim, Iblix et Papspier pour vos réponses.

Oui, c'est une discussion intéressante, et pour maintenir l'intérêt je vais m'accorder une décantation de quelques jours... avant de revenir à la charge bien évidemment :mrvert:

E.
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jp
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Message par jp »

Ah ben... me voilà. En fait, j'ai réalisé que l'année dernière, le genre de musique que j'ai le plus pratiqué professionnellement était... l'impro libre. Pas le free jazz. Je pratique pas, d'ailleurs, le free jazz, je connais mal, quand j'écoute ça me plaît rarement (à vrai dire, c'est un abus de langage : j'en écoute pas. Des fois on m'en fait écouter, et c'est jamais assez pour que je m'y fasse).
Je suis allé voir des concerts d'impro libre. Parfois j'ai trouvé ça pas mal, assez rarement ça m'a gonflé (mais j'ai l'impression que c'était assez peu improvisé, en fait, c'est ça qui m'a pas plu). Parfois j'ai trouvé que les zicos étaient vraiment super et que j'aimerais bien faire de l'impro libre avec eux. Très rarement j'ai trouvé ça super bien (et étonnamment j'ai trouvé super bien des solos, sinon j'écoute trop ce qui se passe entre les zicos et pas la musique).
J'ai fait de la musique improvisée pour du très très jeune public (ça s'appelle "Musiques et langues de babylab"), pour des enfants de 6 à 18 mois*, en liaison avec des scientifiques, génial... et aussi, dans un tout autre contexte, pour des danseurs plutôt danse-contact. A chaque fois, ce qu'on me demande, c'est de la disponibilité, de la "super-présence", un lien très fort avec ceux qui écoutent qui ne savent généralement pas (ou qui se foutent, ou les deux) que c'est de l'impro.
Je suis sur une vision primitive de l'impro libre : je joue avec, je fais ce qui me semble le mieux pour le public, c'ets ce qui me guide, ça veut pas dire que je suis consonant tout le temps, ça ferait fuir tout le monde, on doit gérer une part de surprises, d'idées saugrenues, d'humour parfois, de contrastes... enfin bon c'est de la musique, quoi, on fait pas bouger de l'air, on crée des sensations (des sentiments? :mrvert: :mrvert: ) chez ceux qui nous écoutent et pour qui on joue. Pas de différence significative avec le reste de la musique, sinon qu'on peut être tout entier à notre mission : pas de partition indésirable pour s'interposer entre ma pensée et la pensée de celui qui écoute :mrvert: .
Euh... pour être honnête, il y a potentiellement plein de trucs indésirables qui s'interposent quand même : je ne joue pas comme je voudrais, les musiciens avec qui je joue ne lisent pas toujours dans mes pensées (et c'est réciproque pourtant j'essaie). Le public ne comprend pas vraiment ce que je voudrais faire passer...
Dans les stages d'impro que j'anime, j'ai été un moment "monsieur impro libre"... J'en ai ma vision, et je crois que je n'ai jamais vraiment décollé du niveau zéro : on joue ensemble, on suit, on imagine, on communique. C'est ce qu'on fait au début. Et puis sans doute qu'avec le temps et l'expérience, les vrais musiciens du libre en sont venus à ne plus faire ça, à ne plus aller "avec", pour ne pas retomber dans la même musique.
Avec un grand groupe de musiciens pas trop expérimentés, la première fois qu'on fait de l'impro libre "avec" on se retrouve presque invariablement à jouer un moment en 4/4, en ré mineur, à un tempo de 120. Sans doute que à force de faire du libre, toute attitude délibérément consonante et "avec" les autres est considérée comme une sorte de 4/4 ré mineur 120 un peu améliorée. Pour faire autrement, il faut cesser de faire avec.
Perso... j'aime rarement et ça peut facilement rendre cette musique novatrice, conceptuelle et inécoutable. Enfin novatrice je suis pas sûr.
En même temps, à faire ça doit être bien.
De toute façon, je crois que j'aime pas bien écouter de la musique. Je me sens pas à ma place.
jp

* C'est génial la zique pour les bébés. Tu joues normalement mais couché ou accroupi. Tu peux faire des contrastes, envoyer parfois, développer, surprendre, rire, faire de la mélodie. Tu dois être intéressant sinon tu les perds en 3 secondes. Jamais un bébé ne te dira que le projet est intéressant. Et quand deux semaines plus tard tu fais un concert pour des bébés qui te connaissent et que clairement ils sont super contents que tu soies là et ils sont en écoute à la première note, c'est juste trop bon.
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Message par Tontonk13 »

Bonjour à tous

Je suis totalement ignorant en jazz et donc en Free Jazz, et débutant en clarinette, mais je me permet tout de même d intervenir dans vos échanges très intéressants car après avoir écouter la vidéo de Pierolivier ( pas entièrement je le reconnais :oops: ), je me pose la question de savoir comment on détermine que c’est du Free Jazz, quels sont les critères retenus pour différencier ce mode musical d’un autre.

ps : merci Dim pour le lien «  formajazz «  qui va me permettre de m’initier au Jazz, ses différentes formes et origines.
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L'Altiste
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Message par L'Altiste »

Je dirais que le Free vient d'une double injonction (ou double envie qui deviendra une injonction) : briser les "codes" du "Jazz" des années 50/début 60 en sortant des schémas classiques (et là aussi on peut gloser sur ces schémas.......) qui s'étaient imposés à la longue, et l'affirmation d'une volonté d'émancipation qui n'est pas que musicale mais aussi sociale et revendicatrice pour les Noirs. Briser les codes musicaux et scéniques, se réapproprier totalement, dans ses moindres recoins, le son de son instrument, c'était aussi affirmer que l'on ne voulait plus du code social et de l'image du Noir en Amérique.

Briser les codes en vigueur à l'époque conduit à aller vers l'atonal et l'arythmique, et à son tour le Free devient une "norme", du moins en apparence : jouer fort, vite, dans tous les sens. Mais à la base cette situation de bordel apparent du Free est issue d'une réelle explosion émancipatrice et de sentiments à exprimer à toutes forces, dans l'urgence, d'où l'explosion de sons tous azimuths.

Mais c'est une surface et un cliché : du point de vue formel, le brouhaha d'instruments poussés à fond en jouant vite est attaché au Free, mais on n'est pas obligé. Comme le Be-Bop n'est pas que du branlage de manche, ou le Cool que de la trompette geignarde.

Eric Dolphy en interview affirmait que s'il avait besoin de produire un bruit sur sa clarinette basse au lieu d'une note parce que ce qu'il avait envie d'exprimer l'exigeait, eh bien ! il produirait ce bruit, et quand bien même le public refuserait de le suivre sur ce terrain il continuerait parce que c'est vital.

Le Free est une "intention", pas un hasard de trucs que l'on sort n'importe comment. PapsPier l'a dit à la page précédente :
PapsPier a écrit :Il y a une difference entre Taylor, Coleman et les historiques du free et les universitaires/intellectuels qui jouent du free maintenant, c'est le sens, la raison. Avec l'absence de contraintes, on risque de perdre en musicalite. Ce qui n'est pas genant quand il reste le sens, l'intention du musicien
Et je l'ai dit aussi en interview dans Ouest-France en avril dernier :
Le Free Jazz est une intention, un sentiment que l'on exprime sur le moment. (...) C'est une remise en question permanente.
. Selmer Alto
. Selmer Bb. Modèle 15 série L
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Message par Dim »

Sirba Izvoara par les Bons Becs (la première partie c'est Sirba Izvoara, le deuxième je ne connais pas le titre)
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Message par EricW »

Merci jp & le bassiste pour votre contribution.

Jp j'attendais la tienne en particulier, te sachant pratiquant de l'impro libre. Elle permet de trouver des portes de sorties au sempiternel écueil de l'élitisme, et et rien que pour ça c'est bien.

Ta réflexion sur une présence aïgue et la recherche du lien est très intéressante. Dont on pourrait induire que finalement ce sont des musiques qui se vivent, même en tant que public.
Le fait est qu'elles se prêtent plutôt moins à l'écoute d'enregistrements, encore qu'il y ait de belles exceptions à mon sens.

Vite fait je rebondis sur le Bassiste
Le bassiste a écrit :Le Free est une "intention", pas un hasard de trucs que l'on sort n'importe comment. PapsPier l'a dit à la page précédente :
PapsPier a écrit :Il y a une difference entre Taylor, Coleman et les historiques du free et les universitaires/intellectuels qui jouent du free maintenant, c'est le sens, la raison. Avec l'absence de contraintes, on risque de perdre en musicalite. Ce qui n'est pas genant quand il reste le sens, l'intention du musicien
Je te rejoins complètement sur l'intention (et ce que tu en dis juste avant le passage que je cite).
Ce qui m’embête avec la réponse PapsPier c'est la désignation vague d"une catégorie qui dans son esprit a l'air d'englober pas mal de monde (tout comme le fait Dim par ailleurs) mais j'attends toujours qu'on me prouve qu'il y a une bande de malfaisants dont la taille semble au plus haut point dérangeante. Dit autrement : "si y'a 2-3 peignes-culs qui se croient sortis de la cuisse de Jupiter, qu'est-ce qu'on s'en fout franchement". L'arbre qui cache la forêt en quelque sorte.

Je répondrais plus longuement plus tard.

E.
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Message par PapsPier »

Je reconnais mon erreur: c est une generalisation hative et biaisee (basee sur la musique concrete, contemporaine plutot que sur le free). Un jugement a l emporte piece apres avoir vu la video.
Comme je l ai dit, je suis plus ouvert d esprit en vrai que mon message ne le laisse penser et je me base sur mes oreilles et le coeur plutot que sur le cerveau pour juger si j aime tel ou tel groupe ou telle ou telle musique.
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Message par PapsPier »

Et puis a quoi bon? Free ou pas, c est que de la musique qu on aime tous :)



(Florin Gugulica a la clar)
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Message par jp »

Ah ouais sinon la vidéo de Pierolivier ça m'a fait une émotion intense : j'ai ri sans pouvoir m'arrêter pendant les 5 premières minutes à en pleurer. Et je trouve ça très fort. A partir de 5'30 ça m'a moins transpercé*.
jp

* Oui, je crois que c'est le bon mot.
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